Texte fascinant, presque claustrophobique… Ce duplex avec une seule fenêtre devient une métaphore puissante – du repli, de l’observation, de la solitude aussi peut-être. On imagine l’espace contraint, le regard qui cherche la lumière, le monde vu à travers un seul cadre. J’ai pensé à certaines nouvelles de Perec ou même à des scènes de Kieslowski, où chaque détail devient signifiant faute de multiplicité. Merci pour cette exploration si singulière du lieu et de la perception.
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Texte fascinant, presque claustrophobique… Ce duplex avec une seule fenêtre devient une métaphore puissante – du repli, de l’observation, de la solitude aussi peut-être. On imagine l’espace contraint, le regard qui cherche la lumière, le monde vu à travers un seul cadre.
J’ai pensé à certaines nouvelles de Perec ou même à des scènes de Kieslowski, où chaque détail devient signifiant faute de multiplicité. Merci pour cette exploration si singulière du lieu et de la perception.
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